Repenser les rôles entre public et privé pour mieux financer le Bien-Vivre par Marc Desforges

 

Deux actualités se percutent ces derniers jours :

L’annonce d’un plan de lutte contre la pauvreté annoncé par E. Macron cette semaine et la parution du Baromètre de la Finance solidaire 2018-2019 publié par La Croix et Finansol.

Elles préfigurent une augmentation de l’épargne privé disponible et des finances publiques orientées vers les publics vulnérables. Pour Crois/Sens, il est nécessaire de faire converger ces moyens privés et public vers un objectif commun : le bien vivre dans les territoires.

 

Des financements prêts à être investis sous conditions

En 2017, l’épargne solidaire a connu un succès extraordinaire auprès des petits épargnants avec 1,8 Milliards d’euros de collecte supplémentaires en un an, portant l’encours total à 11,5 milliard d’euros. Elle constitue un gisement puissant de financements pour des projets solidaires, participant à la cohésion sociale et la dynamique de l’économie locale. En parallèle, de l’argent est débloqué via des appels d’offre publics pour financer des projets d’innovations dans les territoires à condition d’imaginer des schémas conjuguant subventions ET fonds remboursables. D’autre part, comme l’illustre l’appel à projet « Territoires D’innovation de Grande Ambition » qui devrait paraître d’ici la fin du mois de septembre, ces appels imposent de plus en plus d’associer de multiples parties-prenantes : citoyens, acteurs académiques, entreprises classiques et sociales et solidaires.

 

La suite de la tribune ici.

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Marc Desforges

Le lien social comme accélérateur

Marc Desforges
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